Casey Knight
Messages : 369 Date d'inscription : 16/06/2015
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| Sujet: Casey Knight Mar 16 Juin - 20:51 | |
| Identité
Nom : Knight Prénom : Casey Âge : 27 ans Sexe : féminin Nationalité : américaine Profession : Coatch sportif Gang (si aucun gang n'est choisi, le MJ amènera plusieurs opportunités pour en intégrer un) : hésite entre les One Niners et les Northem Wolves Orientation sexuelle : hétérosexuelle Connu par les services de Police : non Objectif dans la vie : Ressentir quelque chose, enfin Famille ou amis (si oui précisez en les membres proches du personnage par un prénom et une brève description) : une mère, chiante à ses yeux, et un frère, son protégé
Aileen Knight
Ma mère, chiante à l'extrême et ne supportant pas de voir sa fille si "masculine" alors qu'elle a un corps féminin digne de ce nom. Elle m'a élevé moi et mon petit frère, seule, depuis la mort de notre père. J'avais 8 ans je crois, je sais plus, j'en sais rien. Tout ce que je retiens, c'est qu'elle me soule à tout le temps me dire quoi faire, comment et à vouloir me surveiller. Putain, j'ai 27 ans et elle me fait chier avec sa vision de la vie toute rose, toute mielleuse. Heureusement, on est pas très proche.
Mac Knight
Mon petit frère. Mon protégé, la seule chose qui me raccroche à cette famille inexistante à mes yeux. Il avait 2 ans à la mort de notre père, Mac Senior. En grandissant, j'ai toujours cherché à le protéger. Je le couve trop, ok, il a presque la vingtaine mais c'est mon frérot, c'est le seul qui me rattache à cette vie de chien.
Description physique
J'ai un physique qu'on qualifie souvent de pas mal. Ouais, je l'entretiens pour en même temps. Être coach sportif ça aide, mais pas seulement. Je suis musclée, mais suffisamment pour que ça soit correcte avec le reste de mon corps. Je suis ni trop grande ni trop petite, ok, je fais 1m72 environ. Pour une meuf, c'est "grand", pour un mec c'est "petit", je suis entre deux donc. Des talons peuvent m'aider à gagner des centimètres mais je déteste ça. J'aime être fonctionnelle tout le temps. Des tennis, des baskets, des convers', voilà mes chaussures préférées. Le reste, tenue de sport confortable pour le taff, un jean délavé, une chemise unie pour le reste, voir parfois quelques hauts affriolants. Qui a dit qu'une fille sportive n'avait pas le droit à des trucs sexy ? Mais les jupes et les robes, non merci.
Les cheveux bruns tendant vers le auburn/noir, longs, je les attache souvent en queue de cheval, ouais c'est ultra fonctionnel et ça gêne pas mes mouvements. En dehors de ça, je boucle facilement et ça me gave. Les yeux chocolats de ma mère achève le reste. A peine un coup de rouge à lèvres et je suis opérationnelle, tout le temps, sans rien d'autres.
Description morale
Je suis pas une fille facile. Non, pas dans le sens, je couche avec tout le monde, ça je le fais, sans remords, je m'en fiche. Un coup d'un soir, ça me suffit, de toute façon, je m'attache jamais, j'y arrive pas. Non, pas facile dans le sens j'ai un sale caractère et je ressens rien, jamais. C'est peut-être ça qui fait que j'aimerais rejoindre un gang. Je cherche le frisson, je recherche le danger car je ressens rien, je suis vide. Et pourtant, je suis froide et impassible à côté. Un sourire ? Jamais, ou factice, à part avec mon frère. Je côtoie des gens tous les jours, et leurs visages me dit rien. Je dis pas que je suis pas ouverte, je le suis, vu que j'écoute tout, et qu'en tant que coach j'ai intérêt à être suffisamment réceptive. Mais je me sens pas particulièrement gaie. Une fille banale, dans une coquille vide. Je suis observatrice donc, je réfléchis assez vite aussi. Mais le reste... Je cherche. Un caractère exécrable aux yeux de ma mère : une fille chiante, ennuyeuse et à l'engueulade facile. Avec une mère pareille aussi...
Histoire
Je suis une américaine typique. Et ma vie s'arrête là. Quoi ? Bon ok. Je reprends tout.
Je suis née de deux parents américains, américaine de pure souche donc, rare de nos jours semble-t-il, du moins à New-York. Mes parents sont venus du Midwest pour habiter New-York, cette ville grouillante de monde, quelques années avant ma venue au monde. J'ai toujours connu cette ville, ses gens, ses problèmes, ses délires. Quand je suis née, j'ai fait la fierté de ma famille. J'étais une fille, j'étais mignonne, j'étais toute rose et toute ronde. Mais ça n'a pas empêché mes parents de me donner un prénom qui porte à confusion, un truc mixte il parait. Pour mon boulot ça me sert en tout cas, quand les gens voient écrit "Casey", ils imaginent un mec, puis ils me voient, et ils déchantent vite car je suis parfois plus hard que les coachs masculins. Bref.
J'étais la chouchoute de mon père. Il m'a tout appris : l'amour du sport, la recherche de l'adrénaline, l'entretien de soi-même... En fait, mon père m'a transformé en garçon manqué, ce qui déplaisait à ma mère qui m'affublait de robe rose bonbon, de nœuds dans les cheveux et j'en passe. Moi, je rêvais d'en apprendre toujours plus avec mon père : la mécanique, la vitesse... Ouais, ça c'est un truc que je kiffe particulièrement. Rouler à toute vitesse, partout, où que j'aille, je remercie mon père de m'avoir fait découvrir le karting gamine, ça m'a plus jamais quitté. Bref, tout allait bien, j'étais heureuse je crois, mais mon père baignait dans des trucs louches et un jour, bah, un jour il s'est fait tuer, devant moi. On se baladait, j'avais 8 ans, ma mère portait mon petit frère qui s'était endormi, on était dans Central Park. Moi je courais. Insouciante. Bah ouais, à cet âge-là, on est plein de vie, on savoure, on rit. Puis je revois mon père qui m'attends, près à me soulever du sol, quand j'entends un coup de feu. Et surtout je vois un trou dans la tête de mon père. Un liquide rouge s'en est échappé, j'ai tout reçu. Mais je comprends pas, ma mère hurle, moi je regarde mon père. Et c'est là que quelque chose a dû se briser quelque part.
Des pleurs ? Il n'y en a pas eu. Une gosse insensible, c'est ce que je suis devenue. J'ai jamais pleuré, mais dès cet instant, je sais pas, j'ai arrêté de rire. Aujourd'hui je sais pas ce que c'est. Je regarde les autres le faire, mais je pige pas. Pourquoi ils rient ?
En tout cas, dès ce jour-là, ma mère m'a pas lâché. Une sangsue. Elle nous a élevé mon frère et moi. Moi ça me faisait chier de l'avoir sur le dos, alors les 400 coups, qu'est-ce que j'en ai fait ! J'ai traîné avec les pires garnements, j'ai tagué avec les autres, j'ai volé dans les rues de New-York, sans jamais me faire prendre. Et à côté de ça, je suis devenue obsessionnelle du physique. Je faisais énormément de sport (collectif et individuel) et de la musculation. J'ai rapidement chopé une vieille bécane que j'ai retapé avec des potes et j'en ai fait des tours à toute vitesse. Il n'y avait que dans ces moments-là, où je frôlais le danger, que je me sentais "vivre". Puis j'ai réussi je ne sais comment à obtenir un diplôme, et j'ai réussi à trouver cette place de coach sportif.
J'en fais baver aux autres, car j'ai besoin d'en baver moi-même. Car ça ne me fait rien. Mais à côté, depuis quelques temps, ma mère le sait pas et faut pas, j'ai commencé à réaliser quelques larcins à droite et à gauche, en demandant à certaines personnes qui m'entourent comment me faire un peu de thune en plus tout en incorporant un groupe. Je vise les gangs, car rester dans cette vie monotone me lasse. Mais pour l'instant ça n'a rien donné. J'essaie pourtant.
Mon rêve ? Ressentir enfin le fait de vivre. Je me fiche de tuer ou de voler, je ne souhaite que me confronter au danger, et cette ville en regorge. Je n'attends que ça. La vitesse, l'adrénaline, le danger, c'est ça qui me défini. Aucune autre chose me motive concrètement pour le moment.
Capacités
- Rapidité normale (10/10) - 10 min avant essoufflement (10/10) - Fine musculature (10/10)
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