Hello I'm the Doctor Jones !! [Abigail & Bryan]

Juste avant d'entrer, tu reçois un message de Bryan, mais c'est un peu tard...

Citation :: Jewish Hospital information : Afin de faciliter votre mission, sachez que le FBI doit venir me chercher sous peu, "une fois que je serai remis sur pieds" selon les dires de l'Agent fédéral Scott pour m'escorter à l'autre bout du continent américain, une mutation en somme. J'ignore pour quelle méthode vous avez opté, sans doute pour la blouse blanche, mais n'hésitez pas à prendre en compte cette information afin de faciliter notre sortie. Je reste à votre disposition si nécessaire.

PS : Un garde surveille ma chambre et je suis en tenue de civil.

Cordialement.

Tu portes une blouse blanche, avec un faux badge de docteur, le vrai, tu l'as volé au gardien qui te l'a donné après que tu l'ais séduit, Luke s'est chargé de l'assommer ensuite. Tu te pointes devant la porte de Bryan après avoir tourné un peu dans l'hôpital.

Le garde du FBI est en place, devant la chambre. A toi de jouer...

Bien, tout s'est bien goupillé finalement. Ils ont fini par accepter les derniers zigotos et Bastian est revenu du bureau de Charlie. J'aimerais bien savoir ce qu'il lui a dit... Mais bon, Bastian joue encore le masque, tout le temps à la résidence.
Je soupire un peu avant de le suivre pour récupérer tout ce que je vais avoir besoin pour la mission, enfin de l'infiltration ! Cela faisait un petit bout de temps que je n'en avais pas fait, surtout une aussi importante, ça me plait. Même si c'est pour libérer un mec que je déteste, qu'importe. On aura tout loisir ensuite de le maîtriser, et puis, si jamais on obtient pas ce qu'on veut, suffit de le tuer, non? Niveau tueur, dans le gang, c'est vraiment pas ce qui manque.
Bref. Je m'en vais me préparer en silence. Les heures passent et il est enfin temps d'aller voir ce Bryan Summers dans sa prison dorée.

Une fois à l'hôpital, je laisse Bastian au parking et accompagné de Luke, je m'en vais commencer ma mission. Au moins, est-il compétent au travail... Bon. Allez Abi, c'est reparti. Une mission dangereuse et risquée... Cela fait bien longtemps que ça ne m'était pas arriver. J'ai quand même passé cinq long mois à stagner.
En suis-je encore capable aujourd'hui bien que Bastian dise le contraire? C'est donc un peu indécise que je m'en vais séduire le gardien. Et je suis surprise du résultat très positif qui ne se fait pas attendre, bien au contraire même. Hum... Peut-être que je n'ai pas tout perdu encore... Je récupère le vrai badge de médecin avant que le gardien ne se fasse assommer par Luke. Puis je lui fais signe que je continue et que j'aimerais qu'il ne reste pas trop loin, au cas où.
Je m'en vais donc, habillée en médecin en vadrouille dans l'hôpital. Je tourne un peu en rond au départ avant de trouver ce fichu service et cette foutue chambre.
Putain. Il est où cet imbécile de Bryan ! Plutôt que de me donner de foutues informations qui me servent à que dalle, il aurait pu me situer sa chambre ! Il doit bien le savoir, non? Sérieux ! Il m'énerve déjà ! Pourquoi je vais le libérer d'ailleurs?
Et qui me dit que je ne vais pas m'arrêter en cours de route? Hein? Qui me dit que je ne vais pas changer d'avis? Après tout, rien ne me retient.

Mais mes pensées s'interrompent quand j'arrive en vue de la chambre de Bryan, hum... Là, je sais que c'est la bonne grâce au gentil petit gorille qui se trouve devant la porte.
Cela me fait sourire de voir un tel toutou en place. Mais il faut que je fasse gaffe... C'est un mec du FBI, pas n'importe qui là. Bah, je peux toujours essayer, si j'y arrive pas, tant pis, j'en ai rien à faire. Je le larguerais à la moindre boulette après tout.
Et à part ma famille voir le commissaire Einor, il n'a rien d'autre pour remonter jusqu'à moi, suffit que je change de numéro aussi d'ailleurs. Enfin, je me mets le stéthoscope que j'ai récupéré autour du cou, et je m'avance d'un pas tranquille et sûr de lui vers la chambre de Bryan. Forcément, je vais me faire bloquer le passage, n'est-ce pas? Qu'importe.

Il est l'heure de la visite préventive habituel pour vérifier que tout est normal. Puis-je passer? Cela ne prendra que quelques minutes.

L'agent te regarde avec dureté :

Je ne vous ai jamais vu vous occuper de Monsieur Summer, pourquoi n'est-ce pas le docteur Liankel qui ne vient pas s'occuper de ce dernier, il me semble que mes supérieurs ont été très clairs au sujet de ce patient. Il lui faut de la stabilité, pas des médecins qui changent toutes les deux nuits.

Hum... Plutôt intéressant cet homme. Il me fait sourire. Oui, je n'ai qu'à prendre ça comme un challenge, et advienne que pourra. Si ça réussit tant mieux, si ça réussit pas, bah j'aurais essayé quoi et je ne regrette rien.
Je l'observe avec une attitude calme, je n'ai pas à m'énerver contre un homme qui n'est pas au courant de ce qu'il se passe dans cet hôpital, il doit rester scotché à cette porte, non? Alors comment peut-il être au courant de ce qu'il se passe?

De la stabilité? Mais justement. Cet homme a l'air stable. Je viens vérifier que c'est bien le cas, je suis envoyée de ce fait par le docteur Liankel en personne. Depuis quand ne vous-êtes vous pas mis au courant des dernières nouvelles? Je suis là pour vérifier si le patient est en état d'être transférer ailleurs. Mais si vous m'empêchez de faire mon travail, comment pourrait-on le savoir? Avez-vous vu d'autres personnes à part moi aujourd'hui? Pas grand monde je suppose, donc ne me parlez pas de stabilité et laissez moi faire mon travail.

L'agent te regarde de haut en bas et finit par se décaler sur le côté. Il baisse la tête en signe de respect,

Toutes mes excuses Docteur... Je vous en prie.

@ Abigail : te voilà donc dans la chambre de Bryan, tu le trouves assis sur son lit en attente d'une quelconque venue, il saute de ce dernier pour te rejoindre aussitôt.

@ Bryan : ta sauveuse est là !

@ Tous : Alors que vous vous défiez du regard, vous entendez un hurlement, commun chez le service de psychiatrie... et vous voyez un grand brun courir comme un dément en hurlant devant le gardien, il porte une blouse de patient, et ce boucan a le don d'attirer quelques infirmières qui appellent à l'aide l'agent.

Luke a fait du bon boulot, la voie semble libre... Pour l'instant, vous avez encore le temps de vous organiser... Abigail tu sais qu'à cet étage, il n'y a pas d'accès au personnel, juste une pièce de repos... Il vous faudra environ dix minutes pour atteindre celle de l'étage inférieur, mais il y a aussi les sorties de secours... A toi de faire un choix. Respecter le plan ou ne pas le respecter.

De toute façon, l'agent est parti dans le couloir de droite, et c'est par là que se trouve les deux accès...

Bien, mission réussie ! Gardien dupée ! Cool !
J'entre donc en silence dans la chambre, cherchant du regard Bryan, qui est simplement assis sur son lit d'hôpital. Cela a le don de me faire venir un sourire narquois. Tiens donc. Bryan Summer sur un lit d'hôpital, dommage qu'il ne soit pas en plus mauvais état, ça aurait été beaucoup plus marrant. Il a pas vraiment changé en un peu plus de cinq mois, à part peut-être la barbe, et encore, il semble avoir mûri, enfin, il fait un peu plus vieux que lorsque je l'avais laissé dans le métro.
Qu'importe, il ne me fait ni chaud ni froid et finalement cet agent du FBI n'était rien de plus qu'un encas, c'est pas drôle.
Je le regarde donc s'approcher de moi, dès qu'il me voit entrer dans la pièce. C'est quand même assez grisant de voir que cet homme-là a besoin d'une gangster comme moi, en fait ça me fait rire intérieurement mais ça ne m'enlève pas de la tête qu'au moindre problème soit je le largue quelque part soit je le tue. Bref. Je m'en fiche, ce n'est que de le début du plan après tout.

Alors que j'allais parler, j'entends un grand cri de dément provenant du couloir par lequel j'arrive. J'ai à peine le temps de me retourner et de voir un Luke totalement cinglé passé en hurlant devant le garde, provoquant une sacrée pagaille sur son passage, ce qui nous vaut une absence bienvenue de l'agent fédérale. Ouais sauf que Luke. T'as pas trop assuré, c'est dans l'autre sens que t'aurais dû aller ! Néanmoins, ça me fait éclater franchement de rire.
Qu'est-ce qu'on s'amuse dans ce service de psychiatrie !

Hum... Il nous offre là un beau cadeau empoisonné. Bah, au moins sommes-nous débarrassés de ce fichu garde. Bon. Vous n'avez pas l'air d'être trop faible, donc on va pouvoir courir, faire des sauts, s'étirer, jouer des coudes. Bref. On va pouvoir s'éclater un petit peu !

Je lui souris avec ironie, qu'est-ce que je m'en fiche de l'avoir en face de moi.

Trêve de bavardages, ce mec vient de nous offrir une occasion en or de nous enfuir sauf qu'il est parti par là où on devait s'en aller. En somme, on peut tomber sans prévenir sur votre chien de garde. Le but était d'aller vers un accès au personnel pour vous transformez en pseudo médecin, afin de rejoindre le parking. Mais c'est un peu compromis on dirait. J'ai au moins ce masque avec moi.

Je le sors de la poche de ma blouse et le lui tends, n'attendant pas sa réponse.

Mettez-le, on pourra faire croire que vous avez le rhume des foins. C'est la période après tout et au moins ne vous reconnaîtrons pas tout de suite. Pour le reste, il faut réfléchir à un plan, au cas où on ne peut pas atteindre un accès au personnel, il n'y en a pas ici, faut descendre d'un étage... A moins que... A moins que vous ne fassiez semblant de m'attaquer si jamais notre bon toutou nous surprend, auquel cas vous n'aurez qu'à courir.

Si vous vous faites tuer je m'en tape complètement, mais ça je ne le lui dirais pas.

Je saute du lit et me dirige dans la direction de la femme-médecin que je n'ai aucune difficulté à reconnaître comme étant Abigail étant donné qu'aucune visite n'était prévue pour aujourd'hui et que je n'ai appelé aucune infirmière. Lorsque j'entends un fou furieux hurler dans le couloir et se mettre le garde à dos pour nous ouvrir la voie, je ne ris pas, mais fixe Abigail du regard. Je l'écoute m'énoncer son plan qui semble assez bon en théorie en ce qui concerne ma transformation en pseudo médecin. Je hausse un sourcil lorsqu'elle me fait part de son idée saugrenues de faire semblant de l'attaquer si l'on était amenés à tomber sur le garde. Et puis quoi encore ? Courir, et pour aller où ? J'ai aucune chance de m'en sortir vivant. Je souris en prenant le masque qu'elle me tend :

Va pour le pseudo médecin Abigail si tout se passe comme on le souhaite. En revanche pour la fausse attaque, cela ne me dit rien qui vaille. Pensez-vous vraiment que j'ai la moindre chance d'arriver au parking sans être rattrapé ? L'intérêt étant de jouer la discrétion, et je n'ai aucun intérêt à passer pour un fugitif.

Combien d'étages avons-nous à descendre avant d'arriver au parking Abigail ? Vous semblez avoir réussi à mettre le garde dans votre poche pour entrer dans ma chambre, nous devrions pouvoir prétexter d'un nécessaire checkup pour tenter d'avancer. Je porterai le masque que vous m'avez fourni afin de nous permettre d'avancer un peu.

Êtes-vous armée Abigail ? Si tel est le cas vous pourrez tout aussi bien me prendre en otage pour arriver à notre fin, si la discrétion ne fonctionne pas. Après tout, ce ne serait pas étonnant que des hommes de mains cherchent à m'éliminer. Vous n'êtes pas seule sur le coup j'imagine non ?

Joignant le geste à la parole, je passe le masque autour de mon cou, prêts à le mettre sur mon nez avant de sortir de la chambre, direction le couloir de droite visiblement.

Je reste sceptique face au blabla de Bryan Summer. Hum... Il m'a pas l'air dans son assiette finalement. Il semble bizarre. Jamais le Bryan d'il y a cinq mois aurait été si pessimiste avant même d'essayer. Qu'est-ce qui a bien pu se passer, à part la mort de son père bien sûr? C'est assez curieux.
Je croise les bras sur ma poitrine, réfléchissant tranquillement. De toute manière, il faut qu'on sorte d'ici. Il faut qu'on tente un truc ou on restera bloqués ici, enfin, lui, pas moi.

Hum... Vous semblez différent, plus pessimiste je dirais. Est-ce que tout va bien? Si vous n'êtes pas ok, ça nous ralentira fatalement. J'ai pas besoin d'un mec qui n'ait pas prêt à tout pour sortir. Si tel est le cas, je vous laisse vous démerdez ici et maintenant et je me casse sans vous. J'ai pas besoin d'une poule mouillée avec moi, d'acc?

J'ai parlé un peu froidement, mais je veux qu'il comprenne que si je le veux et surtout quand je veux, je peux le larguer à tout instant et ne plus m'en préoccuper.
Je le laisse encaisser mes paroles avant de reprendre.

Courir n'était qu'une façon de penser, faut nuancer. Je sais parfaitement que ça sert à rien ici à part attirer l'attention, mais courir dans le sens de s'échapper en secret, ça se peut, vous avez perdu niveau QI en cinq mois? Bref. Bien sûr que je suis armée, mais je n'ai pris une arme que pour moi et moi seule. Pas besoin de mettre ce genre de joujou entre les mains d'un ennemi, même si on est venu aider ce dit ennemi.

Je le regarde une dernière fois avant de décroiser mes bras de ma poitrine et de me rapprocher de la porte pour regarder dans le couloir si la voie est toujours libre jusqu'aux escaliers et ascenseurs.

Nous sommes au 8e étage, au 7e il y a l'accès du personnel dans lequel j'aimerais récupérer une blouse pour vous, voire d'autres vêtements de civils, ensuite, tout en gardant votre masque pour faire croire à un rhume, nous descendrons le plus naturellement possible. Et si ça foire, ben on avisera. On nous attend en bas oui.

Comme la voie est libre, Luke a fait du bon boulot même si ça m'arrange pas trop pour le coup, je sors dans le couloir et me dirige en direction de la droite, n'attendant même pas que Bryan me suive, il n'a pas d'autres choix non? Ou c'est le FBI ou ce sont les gangsters, à lui de choisir. Moi, je ne vais certainement pas moisir dans ce foutu hôpital en territoire ennemi.

Un sourire se dessine sur mes lèvres :

Avoir perdu en QI certainement pas, avoir gagné en méfiance probablement. Vous semblez avoir un plan bien en tête, alors je vais suivre ce dernier, et comme vous le dites, en cas de problème, on avisera. Je vous suis Docteur.

Je la laisse passer devant tout en la suivant de près après avoir placé mon masque sur le nez, marchant à ses côtés, tous mes sens en alerte, mon regard à l'affût de tout élément qui pourrait nous être bénéfique ou au contraire nous mettre dans l'embarras.

A droite donc.

Vous vous avancez donc dans le couloir de droite puisque de toute façon celui de gauche mène à un cul de sac, la chambre de Bryan étant l'avant dernière. Votre pas est rapide et vous croisez une ou deux infirmières qui ne vous abordent pas et vous entendez toujours Luke qui hurle :

AAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH LES E.T VONT VENIIIIIIR NOUS CHERCHEERRRR AAHAAAAAAAAAAAAAAA !!!!! ADIEUUUUUU !!!

Faites lui une piqûre de calmant à ce cinglé !! Hurle le garde.

Il faudrait déjà l'attraper ! Monsieur !! Descendez de cette armoire !! Comment il s'appelle d'ailleurs, je le reconnais pas ?

Les infirmières se regardent perplexes et haussent les épaules. Vous arrivez à la fin du premier couloir, l'ascenseur est en face de vous, et Luke et tout le bazar se trouve sur la gauche de ce dernier au bout d'un nouveau couloir.

De ce que vous voyez, il va falloir appeler l'ascenseur et attendre qu'il monte... Mais aurez vous le temps ? L'agent fédéral commence à secouer l'armoire où Luke s'est perché par on ne sait quelle magie...

La sortie de secours est à quatre mètres sur la gauche de l'ascenseur, soit près du groupe.

Comme la chambre de Bryan est l'avant dernière du couloir, nous avançons relativement vite, nous n'avons après tout aucun obstacle sur notre passage. On dirait que tous les patients restent dans leur chambre, on entend simplement les hurlements démesurés de Luke au fur et à mesure que l'on se rapproche de l'ascenseur.
D'ailleurs, il me casse les oreilles, il en met du coffre dans sa voix l'imbécile ! Quand on arrive enfin en vue de l'ascenseur, je regarde assez perplexe la scène qui s'offre à nous sur notre gauche. Luke est perché sur une armoire à s'égosiller tel un cinglé, les infirmières tentent de le raisonner en vain et le garde est exaspéré de voir qu'on ne fait rien pour arrêter ce malade et commence même à secouer la dite armoire pour essayer de le faire descendre.

On n'a pas beaucoup de choix devons nous, il y a l'ascenseur mais combien de temps mettra-t-il donc à monter? Il peut être à l'étage d'en dessous comme beaucoup plus bas... Bref, je cherche les escaliers du regard et les trouve, mais vraiment trop près du groupe.
Ok. Un peu mission impossible par-là, mais en même temps, l'ascenseur fera du bruit, ne réagiront-ils pas malgré les cris de Luke au bruit que fera l'ascenseur une fois arrivé, et les portes s'ouvrant? Il faudrait que je puisse faire entrer Bryan à l'intérieur avant moi, ou que je fasse diversion pour qu'il puisse le faire. Ce serait bête de foirer à cet instant précis.
Et puis, ne suis-je pas sensée être médecin? Quel mal y a-t-il si j'interviens? Je peux appeler l'ascenseur et me diriger vers eux ensuite, pour savoir ce qu'il se passe, non?

Bryan. Dès que vous le pouvez, entrez dans cet ascenseur. Je vais essayer de faire diversion, je suis médecin, non?

J'appelle donc l'ascenseur et commence à m'écarter de Bryan pour m'avancer vers le groupe, en faisant comme si je me déplaçais dans le couloir. Je me rapproche assez prêt pour me mettre aux côtés du garde qui semble se déchainer sur cette armoire.

Mais que faites-vous bon sang ?! Ce n'est pas en le secouant comme un prunier que vous aller le faire descendre ! Qu'est-ce que vous avez dans la tête ?! Ce patient est malade ! Vous allez accentuer ses symptômes à utiliser une manière aussi violente ! Sympathiser d'abord avec lui et ensuite les infirmières pourront lui administrer un calmant. Mettez-le en confiance au lieu de vous acharnez sur lui ! Vous êtes un homme, non? Alors agissez comme tel ! Vous seul pouvez le faire, vous avez la force nécessaire pour le maintenir une fois qu'il sera redescendu. Et vous, comment avez-vous pu oublier le nom de ce patient nouvellement admis ? Il s'agit de Lukas, dépêchez-vous d'aider cet homme à le calmer, c'est un vrai capharnaüm dans ce couloir !

J'attends que mon autorité agisse avant de leur faire un signe de tête de continuer et de me diriger vers l'ascenseur une fois qu'ils auront repris leur activité. Ils n'ont pas besoin de moi, ils avaient juste besoin de l'avis d'un confrère, le garde fera très bien l'affaire, il suffit juste de le descendre de son perchoir, n'est-ce pas? Alors les infirmières sont toutes qualifiées pour le faire.
J'espère que Bryan aura eu le temps d'entrer dans l'ascenseur sans qu'il ne soit vu par qui que ce soit, après tout, je me suis mis près du garde de sorte qu'il ne regarde que moi, tout comme les infirmières et non sur leur droite.

Il est encore là ce taré ? Amusant, ils ont plus qu'à jouer à chat perché avec lui. Lorsque Abigail me dit ce qu'elle compte faire, je lui fais un faible sourire, il était inutile de me parler, j'aurais très bien compris son petit manège, j'aurais préféré qu'elle reste silencieuse pour m'assurer ma couverture pendant qu'elle s'occupe du fou furieux qu'elle semble connaître, un de ses hommes sans aucun doute.

Pour ma part, j'attends que l'ascenseur daigne monter, afin de m'assurer de ne pas me faire surprendre par quiconque dans les couloirs, je jette des oeillades dans tous les sens, prêts à mettre en oeuvre mon don d'influence sur une éventuelle infirmière trop curieuse de ma présence en dehors de ma chambre, l'incitant du regard à faire demi tour ou renforcer l'équipe autour du garde.

Si tout se passe normalement, dès lors que l'ascenseur s'ouvrirait, j'entrerais dans ce dernier à pas rapides en espérant que personne n'en sorte. Je ferais le maximum pour garder les portes ouvertes afin de permettre à Abigail de me rejoindre. Si ce premier obstacle est passé aisément, il nous faudrait anticiper les éventuelles montées d'ici le rez-de-chaussées...

L'ascenseur est en train de monter quand tu interviens et tu fais sursauter tout le groupe en prenant un ton autoritaire... qui n'a aucun effet sur eux sinon sur Luke ! Le pauvre se crispe et le garde en profite pour le faire descendre en faisant tomber l'armoire. Il lui saute dessus pour l'immobiliser et il dit en relevant la tête :

Je suis désolé Docteur, mais ce n'est pas non plus mon rôle de m'occuper de vos patients alors je fais ce que je peux, pas la peine de me parler sur un ton aussi arrogant !

Les infirmières te regardent bizarrement Abigail,

Euh... Vous êtes qui vous ?

L'ascenseur est arrivé, on entend distinctement le "ting" quand il arrive et ouvre ses portes, Luke est à terre toujours, et hausse les sourcils avant de souffler d'ennui.

Mais qu'est-ce que...?

@ Bryan : la sortie est droit devant toi...!

Je me frotte les yeux avec mon index et mon pouce de la main droite. Me donnant ainsi un air quelque peu fatigué et exaspéré avant de reporter mon attention sur le garde et les infirmières. Tout ce que j'ai à faire, c'est de me faire passer pour un médecin excédé par toutes cette agitation pour pouvoir faire gagner du temps à Bryan, si je peux rejoindre l'ascenseur avant qu'il ne se referme, ça serait mieux mais bon.
Je fixe un regard blasé sur Luke, comme pour signaler que ce n'est rien de plus qu'un malade comme un autre et qu'une fois attrapés ils ne font plus les fier.

Vous m'excuserez si je vous ai cru en grosse difficulté pour maîtriser ce patient. Je n'ai fait que vous stimulez d'avantage. Maintenant qu'il est à terre, peut-être pourrions-nous enfin lui administrer un calmant et retourner à nos occupations? Ce que ça peut être fatiguant de voir que rien ne marche comme il faudrait dans cet hôpital !

Je prends vraiment un air excédé et un ton fatigué, pour bien signaler que je m'excuse pour mon ton précédent mais que c'était nécessaire. Ainsi, le calme est-il revenu, ou à peu près. J'espère que Bryan en profitera pour se faufiler dans l'ascenseur... Si je peux le rejoindre avant que les portes ne se ferment, ce serait vraiment top sinon je passerais par les escaliers une fois le garde reparti pour la chambre de Bryan et les infirmières s'occupant de Luke.
Après m'être adressée au garde, je me tourne vers les infirmières, arquant un sourcil surpris au travers de ma fausse fatigue.

Alors comme ça vous oubliez le nom d'un médecin arrivé ici depuis plus d'un mois? Je suis le docteur Jonas, on se côtoie tous les jours. Si vous ne vous rappelez pas de moi, allez vous reposer un peu une fois ce patient en sécurité pour lui-même. Ce serait malheureux qu'un autre incident de la sorte se produise pour une faute d'inattention de votre part. Cet hôpital pâtirait alors d'une mauvaise réputation.

Je n'entends plus aucun bruit suspect derrière moi, a-t-il pu s'enfuir? Les portes sont-elles encore ouvertes? Vais-je pouvoir m'y engouffrer?

J'en ai fini de ma journée, je rentre chez moi. Si vous avez vraiment besoin de moi, bipez moi, ce sera plus simple pour me joindre.

Sur ce, je laisse Luke entre les mains des infirmières et du garde puis commence à me diriger vers l'ascenseur, auquel cas je prendrais les escaliers.

Je me mords la lèvre inférieure lorsque Abigail est en échec face au garde et aux infirmières, néanmoins, je profite qu'elle fait tout un discours pour s'expliquer, en filant à grands pas vers l'ascenseur le faisant descendre d'un étage, préférant faire le reste à pieds, voire me changer si je le peux. J'espère pour elle qu'elle aura assez de temps pour me rejoindre, sinon il va lui falloir descendre à pieds...

Ca sent vraiment mauvais cette histoire, je suis pratiquement sûr que je vais devoir lui envoyer son équipe en secours, à moins que je me fasse intercepter entre temps.

@ Abigail : les infirmières te regardent avec des yeux ronds quand tu leur fais ton discours moralisateur. Ton mensonge ne tient pas la route. Elles doivent sans doute travailler ici depuis plusieurs années ! Comment veux-tu qu’elles ne se souviennent pas de toi depuis un mois ? Elles chuchotent, et disent finalement :

Attendez « Docteur Jonas », nous aimerions savoir qui est votre médecin tuteur dans cette clinique ? Car nous avons beau chercher, vous êtes inconnues dans nos répertoires… Tout de même six infirmières qui ne vous connaissent pas depuis un mois, c’est beaucoup !

Le garde relève Luke et donc voit parfaitement Bryan traverser les deux mètres qui le sépare de l’ascenseur, il lâche ce dernier et hurle avant de courir :

SUMMER !!!

@ Bryan : tu entends le garde hurler et tu t’imagines très bien qu’il court pour empêcher l’ascenseur de se fermer mais il rate son coup, les portes se referment pile devant lui avant qu’il n’ait eu le temps d’empêcher la fermeture. Tu descends au septième.

Quand tu sors, tu te retrouves nez à nez avec un médecin qui te regarde, surpris. Impossible de savoir où se trouve l’accès de service… ou bien la sortie de secours, tout seul. Tu ne connais pas assez bien l’hôpital pour savoir ça.

@ Abigail : Bryan vient de se sauver sans toi ! Luke en profite pour se sauver par la sortie de secours et tu l’imagines très bien descendre à toute vitesse pour s’échapper de ce guêpier. L’agent fédéral sort son arme après avoir frappé sur l’ascenseur comme un sauvage et tire en direction de là où était ton équipier. Il te prend ensuite en joue :

Plus un geste !! Ou je vous descends !! Qui êtes vous ? Et que voulez vous à Summer ?!

Il attrape sa radio et l’active :

Le sujet s’est échappé ! Je répète Summer s’est échappé ! Bloquez toutes les issues !!

@ Bryan : avant que tu n’es le temps de réagir, tu entends soudain une sorte d’alarme, c’est sans doute celle qui annonce que tu t’es enfui…

Pas trop mal pour un début Abigail. Maintenant je vais me débrouiller seul pour me tirer d'ici et trouver un moyen de te ramener ton équipe. Je me doutais bien que l'alarme allait sonner. Arrivé au septième j'ai tout ce que je souhaitais, avoir un médecin juste en face de moi, inutile de me rendre à l'accès de service. Je le fixe droit dans les yeux agrémenté de respect pour m'en servir comme marionnette :

Votre blouse, badge et multi pass me seraient bien utiles, merci.

Lorsqu'il s'exécute je l'enfile rapidement avant de poursuivre :

Guidez-moi vers l'issue de secours je vous prie.

Si je sens la moindre résistance notamment du fait de l'alarme annonçant ma fuite, j'amplifierais la dose d'influence de sorte qu'il ne puisse rien faire d'autre que de faire ce que je lui demande, comme si ma voix venait directement d'un commandement de son cerveau.

Contrairement à ce que l'on pourrait s'attendre, je marche tranquillement et ne montre aucun élément de stress. Je discute avec lui l'air de rien, ou plutôt parle seul mais l'oblige à m'écouter. Deux homme en train de discuter, cela paraît moins louche...

En chemin comme à tous les étages que je pourrais emprunter, je chercherai du regard un plan de l'hôpital, je sais parfaitement que quelques secondes me suffiront pour le connaître par coeur dans les moindres détails.

Et voilà... Voilà, c'est fait. Risque 100% activé. Cela me tire un petit sourire qui s'efface néanmoins rapidement face aux supplications et remarques des infirmières. Rhaa... Peuvent pas se la fermer celles-là? Savent pas faire leur boulot et ensuite faut qu'elles se la ramènent? Sérieux, elles devraient se regarder avant de parlementer les cocottes là.
Bon, manque de chance, Bryan Summer n'a pas été assez rapide, bah on pouvait pas trop lui en demander si ça fait dix jours qu'il est bloqué dans cet hôpital, et puis peut-être que durant ces derniers mois, il n'a rien fait et s'est laisser aller? Bah, qu'importe. Je le rejoindrais plus tard, l'important est de se débarrasser de ce foutu garde à présent vu qu'il a lâché Luke qui s'est empressé de s'enfuir à toute jambe, qu'il a provoquer l'alarme et qu'il me tient en joue avec son arme après avoir tiré là où se trouvait Luke auparavant.
Si ce crétin, n'est pas trop crétin, il pourrait presque aller chercher un peu de renfort parmi les gaillards que j'ai embauché pour cette mission.

Je ne me préoccupe déjà plus de ces poules à mes côtés qui ne sont autres que les diverses infirmières et me contente de faire face à l'agent fédéral qui semble nerveux tout à coup. Je ne prendrais pas mon arme si ce n'est pas nécessaire.
Elle est bien cachée dans mon dos, entre mon jean et ce dernier. Je prends une attitude de soumission quelques instants pour faire revenir le calme à travers cette alarme assourdissante qui me vrille les oreilles.

Holà, du calme ! Je ne suis pas armée ! J'en ai rien à faire de Summer, je ne suis qu'une personne de passage. Je vais ça et là, vous savez. Baissez votre arme, nous sommes dans un hôpital ici, si vous tirez encore une fois, vous allez ameuter tous les malades de l'étage et je ne pense pas que c'est ce que vous voulez. Imaginez... Une bande de tarés déambulant dans tous les sens, ça ne vous arrangerait pas, non?

Je commence à faire un pas puis deux vers le garde qui se trouve au niveau de l'ascenseur, m'approchant tout doucement des escaliers par la même occasion.
Si je peux m'échapper sans faire couler le sang, ça serait top ! J'ai plus qu'à espérer que Bryan ne jouera pas son imbécile et descendra tranquille au parking.

[Karma négatif Abigail]

@ Bryan : le médecin s’exécute et il te guide tranquillement vers la sortie de secours comme tu l’as demandé. Il te laisse devant après avoir ouvert la porte, tu l’as parfaitement mis en confiance mais tu sais que dès que tu ne seras plus près de lui, il risque de donner l’alerte, du moins si on l’entend avec le vacarme de l’alarme. Tu vois des patients sortir des têtes curieuses et un peu paniquées à cause du bruit.

Te voilà dans les escaliers, il te reste sept étages à descendre, le pass du docteur ne te seras d’aucune utilité, puisque cette sortie mène directement au parking souterrain. Tu cours comme un malade pour descendre tous ces escaliers avant qu’on ne bloque les issus. Et au moment où tu arrives tout en bas à bout de souffle, il y a deux agents qui te font face, ils te tiennent en joue.

C’est fini Summer ! Bouge plus ! Nous avons reçu ordre de t’abattre si tu résistais ! Fais pas le con Summer !

@ Abigail : le garde hurle une nouvelle fois son ordre mais comme tu n’obéis pas, cette fois-ci, il te tire dessus, tu es touché à l’épaule gauche. C’est ça de vouloir jouer avec le feu. Les infirmières hurlent de peur et si les portes des chambres n’étaient pas fermées à clé, il est certain que vous auriez déjà vu débarqué pas mal de « tarés » comme tu les appelles. Pas très fin le vocabulaire pour un soit disant médecin.

A terre !! C’est un ordre !!

La douleur est insupportable pour toi qui n’a pas l’habitude d’être blessé. Et tu n’as pas fait un mètre de plus… N’est-ce pas ce que Bastian t’a déjà reproché ? De ne pas obéir aux ordres ? Ou bien plutôt de te croire plus forte quand il ne le faut pas ?

Je peine à récupérer mon souffle lorsque je fais face à deux agents du FBI qui me tiennent en joue. Je lève les bras en signe de soumission, affichant un visage affolé :

Désolé si je passe pour un patient en fuite mais on m'a envoyé un meurtrier dans ma chambre au huitième !! Je ne peux pas rester ici, je n'y suis pas en sécurité ! Cet hôpital n'est pas suffisamment sécurisé. Contactez votre collègue du huitième, il vous confirmera la présence d'un étranger à l'établissement.

J'attrape un des hommes par le col et poursuis mon manège :

Je réchappe à peine d'une tentative de meurtre, ce n'est pas pour venir me suicider face à vous !! Laissez moi passer par pitié !

Je me concentre pour amplifier la peur dans mon regard ainsi que la sueur perlant sur mon front. Je commence à fouiller dans les poches de la blouse à la recherche d'éventuelles seringues, en cas d'extrême urgence, faisant passer cela néanmoins pour de la nervosité extrême.

Vous vous demandez pourquoi j'ai cette blouse hein ? C'était mon seul moyen pour les semer...Bordel vous serez plus utiles au huitième je vous assure. Je n'irai pas bien loin je n'ai aucun moyen de locomotion, et surtout je n'ai aucun intérêt à être ridiculisé par l'agent fédéral Scott !

Accompagnez moi à l'extérieur si vous n'avez pas confiance en moi...Mais je refuse de rester ici !

[utilisation d'un karma : +2]

Et merde ! Je pensais que j'aurais pu lui faire comprendre que ça servait à rien de s'énerver, au lieu de quoi je me suis prise une belle balle en plein dans mon épaule gauche. Heureusement, ce n'est pas le côté dont je me sers le plus mais quand même.
La vache, ça fait un mal de chien ! Je serre les dents pour m'éviter de crier et de succomber à la douleur, m'arrêtant pour le même coup mon avancée vers les escaliers. Encore une fois, vouloir tout régler à l'amiable m'a porté préjudice, fait chier... Je savais que j'étais pas faite pour ce genre de trucs. Et Bastian voudrait que je sois une "pseudo bras droit", enfin son assistante? Avec un tel fiasco, et une aussi faible maîtrise de moi-même, comment j'y arriverais, hein?

En attendant, l'alarme s'égosille au dessus de nos têtes et dans nos oreilles, le garde me tient toujours en joue près à tirer me demandant de me mettre à terre, et moi, je suis blessée à l'épaule, le flingue toujours à l'abri derrière mon dos et l'escalier encore trop loin pour pouvoir courir et lui échapper...
Qu'est-ce que je fais? J'espère au moins que Bryan a pu descendre jusqu'au parking, bon s'il retrouve Luke en chemin ça serait cool qu'il me l'envoie sinon been je me débrouillerais. En tout cas, j'ai rien à tiré des infirmières qui semblent totalement paniquées.
Merde. Je m'exécute de mauvaise foi, je descend lentement vers le sol, à genou, les mains en avant pour signaler que je ne vais plus rien faire à part me tirer une grimace à cause de la douleur. Que faire?
J'essaie de regarder autour de moi mais à par cet homme nerveux en face de moi et cette alarme stridente... Aurais-je le temps de sortir mon arme et de lui tirer dessus ? Je me le demande, je le tenterais bien mais c'est franchement risqué.

Je me contente donc de me taire, attendant la suite des "ordres" de ce bon monsieur même si je ne lui obéis pour l'instant que pour mieux rebondir et m'enfuir...

@ Bryan : les agents sont déroutés par ton comportement et commencent à reculer avec toi après avoir eu la confirmation qu'il y a bien un gangster au huitième étage, ou tout du moins une personne suspecte. Mais c'était sans compté l'arrivée de quatre gaillards, dans le dos des agents, ils leur plantent un couteau dans le rein à chacun. Avant de leur trancher la gorge. Ils te regardent avec des yeux ronds, se demandant ce que tu fais ici, toi leur ennemi juré. Ils s'avancent avec un regard qui ne t'annonce rien de bon...

Soudain, la porte qui mène au parking s'ouvre à nouveau, brusquement, et tu te retrouves nez à nez avec l'assassin de ton père ! Il te fixe l'air mauvais tandis que les hommes te sautent dessus pour te tabasser. Il les écarte d'un seul ordre et tu sens toute son autorité t'exploser au visage, cet homme te donne de vraies sueurs de peur.

Ça suffit ! Lâchez-le, il nous le faut vivant !

Il te choppe par le col et te soulèves avant de te demander où se trouve Abigail. Ses yeux verts sont si foncés que tu ne peux que déceler de la colère chez lui.

Où est-elle ?!

@ Abigail : le garde te passe les menottes et t'accroches au premier radiateur qui passe, t'empêchant ainsi de faire quoique ce soit. Il part ensuite par la sortie de secours en essayant d'appeler ses collègues. Tu as seulement ta main droite d'entravée, l'autre est libre même si la douleur de ton bras te brûle.

[Ton ange gardien arrive du coup... Very Happy

]

Et bien voilà, c'est compliqué de reculer d'utiliser le contact radio pour vérifier mes paroles ? Je comptais les emmener sur le parking pour qu'ils se fassent descendre et ainsi usurper l'identité de l'un d'eux, mais visiblement je n'en ai pas le temps, puisqu'ils se font poignarder par quatre hommes, des One Niners sans aucun doute qui se jettent rapidement sur moi pour m'offrir le même sort. Mais c'est lui, lui cette enflure, cet assassin qui me sauve la mise, mais pas par gaieté de coeur, plus pour satisfaire au contrat de sa partenaire.

Lorsqu'il me choppe par le col je siffle autant que faire se peut :

Au..au...huiiitième !

Je ferme les yeux pour reprendre le contrôle de mon corps et de mon cerveau, c'est qu'il a une putain d'autorité cette enflure.

Probablement avec le garde.

Je lui indique le chemin de la tête, bien que je sois persuadé qu'il faille que je l'escorte directement.

@ Bryan : il te jette au sol comme une poupée de chiffon et ordonne à ses hommes de t'attacher et de te foutre dans la voiture en te bandant les yeux. Les hommes rechignent un peu mais finissent par s'exécuter, tu ne manques pas de te prendre plusieurs coups bien placés de ces charmants messieurs qui n'en font qu'à leur tête dès que leur petit chef n'est plus là.

@ Abigail : après quelques minutes d'attente à essayer de te débattre, tu entends un coup de feu et la porte s'ouvre finalement brusquement. C'est Bastian. Il regarde de tous les côtés pour voir où tu es, et quand il t'aperçoit, il se dépêche de te rejoindre. Il grogne en voyant le bracelet que tu portes et sort son Desert Eagle.

Il tire à bout portant et brise net la chaîne qui relie les deux bracelets, l'inconvénient est que tu gardes le bracelet autour de ton poignet gauche. Il te relève,

Lève toi ! On dégage !

Il te choppe vivement par ton bras valide et te pousse vers la sortie de secours. Tu descends en courant les étages en sa compagnie et tu enjambes l'agent qui t'a blessé. Une balle dans la tête a eu raison de lui... Bastian est impitoyable. L'alarme vous vrille les tympans et vous finissez par sortir. Bastian te fait monter dans une voiture noire de sport, et vos hommes sont ici, il donne des ordres :

Vous deux ! Dans la voiture rouge ! Attirez moi ces poulets vers Staten Island ! Et vous deux vous filez vers le Queens !!

Il grimpe ensuite et démarre. Tu es assise à côté de Bryan qui a les yeux bandés et un baillon dans la bouche. Vous sortez du parking dans un crissement de pneus, Bastian manque s'emplafonner Luke qui sort de nul part poursuivi par des agents du FBI qui ouvrent le feu. Il grimpe à la place libre devant.

Une course poursuite s'engage, Bastian semble gérer la situation même si les agents lui collent au train. Ils les sèment en freinant d'un coup sec et en faisant un demi tour au frein à main. Vous arrivez finalement sur l'île de Roosevelt...

[Karma ++ Bastian]

» Abigail Jones
» Fiche Abigail Jones
» I wish I had an angel [Bryan, NYPD, Nordic's, One niners, & Abigail]
» Episode 1 : Retour & Russian Roulette [Abigail & Bryan]
» Episode 7 & 8 : Jouer avec le feu & Nostalgie [Abigail & Bryan]